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Elle a gardé ses yeux d'enfant,
Ils sont toujours aussi charmants,
Et elle est d'une élégance,
Que j'y attache une grande importance ,
J'ai du grandir un certain temps,
Que je ne me souviens plus vraiment ,
Le temps passe si vite maintenant ,
Que cette situation me manque,
Quand je suis loin je l'imagine,
Quelle doit -être tranquille ,
Et je vois son sourire,
Et j'entends ses éclats de rire ,
Que pour moi c'est un beau souvenir,
Mais un jour ça risque de devenir dramatique ,
Même aussi tragique,
Car elle interprète mal la comédie ,
C'est plutôt de la fantaisie,
Il a quelques rides déjà
C'est parce qu'il a veillé sur moi,
Il commence à avoir des cheveux gris,
Ce sont les soucis et les ennuis,
Mais je reste surprise ,
Car je suis toujours incomprise,
Et j'ai failli passer à ma vie,
C'est un grave souci,
Heureusement qu'il a trouvé l'amour ,
Et ça laid de durer toujours ………….
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Elle habitait bien quelque part ,
Ici ou ailleurs ou là bas,
Je ne connais pas les raisons son départ,
Et l'endroit où elle vient,
Je sais quelle soigne avec des plantes,
Elles cueille et fabrique elle même ses
tisanes et autres,
Ça sentait bon les fleurs et ses décoctions ,
Mais il fallait faire attention,
De ne pas la troubler dans ses préparations,
Dans ses yeux on pouvait découvrir cette passion,
Et on voyait apparaitre un léger sourire ,
Qui voulait certainement dire
Mes amis je viens de réussir,
Mais elle laissait entrevoir toujours
une petite lueur d'espoir,
Elle aimait beaucoup le calme,
Et le bruit la désarme,
Cette personne n'aimait pas le noir,
Et pas du tout le soir tard ………….
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Pourquoi ce rêve revient toujours en boucle ,
Qu'on le déboucle ou qu'on le bouscule ,
Et on en parlera plus,
Toutes les nuits c'est la même rancune ,
C'est un déséquilibre avec de l'envergure,
Qui prend des proportions avec un goût d'amertume,
Il faut lui donner une autre chance,
D'aller dans un pays de France,
Ou même à l'étranger,
Ça n'a guère d"importance ,
Il quitte ce pays charmant,
Qu'il traverse la Méditerranée ,
Et apporte un peu de soleil de Provence,
Ça sera plus intéressant,
Il faut y aller sans redouter ,
Mais je vais finir par t'écouter ,
Je vais changer ,
Oh ! rassure toi ce n'est pas un hasard,
C'est un destin bizarre,
Il est gravé dans ma mémoire ,
Mais pour l'instant je ne vois que des étoiles,
Je vais hisser cette voile ,
Et aller plus au loin ,
Je vais voir le lever du soleil,
C'est une vraie merveille,
Et après je vais faire d'autres découvertes,
Car elle est grande cette planète ,
Et d'un œil je la surveille,
Le temps est si clair ,
Que je perçois au loin la pointe vermeille ,
Elle est chouette …………….
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C'est facile de tourner cette page,
Au lieu d'y faire face,
Je regarde et je constate ,
Qu'il a pire ailleurs,
Là nous vivons dans un monde meilleur ,
Enfin il devrait l'être mais j'ai un cœur,
Qui n'est pas toujours ouvert,
Pour tous les commentaires,
Et mêmes les critiques,
Mais dans ce domaine je suis plutôt à l'aise,
Et pourtant j'aime me taire,
Pas parce que je suis en colère ,
Non j'éprouve une certaine détresse,
Et également de la maladresse ,
Mais parfois elle est en moi et elle gronde ,
Alors ça devient une sorte d'abandon,
Mais petit à petit sa force m'inonde,
Et elle me submerge mais sans avoir l'air ,
Alors je reste silencieuse,
Car on rejette toujours cette faute ,
Souvent aux autres,
Je ne veux pas faire la curieuse ,
Mais souvent je vois marquer ce mot
"en commun "
Alors j'hésite et je dois réfléchir ,
Car je me demande bien cette signification ?
Ai-je tort ou raison ?
Là je n'ai aucune réponse ,
Car j'estime que lorsque nous sommes amis,
Automatiquement on ne doit pas l'écrire ,
Pour l'instant je résiste et je persiste ,
Car des vrais amis sont pour la vie ,
Mais ici je vois qu'ils disparaissent très vite,
Et de fil en aiguille ,
Souvent je m'invite mais comme je n'ose pas alors
je m'exprime,
Enfin je veux dire je viens d'adopter l'écriture,
Qui n'est pas très facile à dire ,
Mais je fais le mieux et je réalise qu'il y a pire ………...
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Longtemps j'ai pu dissimuler,
La vraie réalité,
Mais quand je me suis aperçue ,
Que ce n'était qu'une illustration ,
Je devais avoir un voile devant la face,
Pour ne pas m'en apercevoir ,
Mais là je dois dire que je suis déçue,
Tu jouais si bien la comédie,
Que c'était toujours la même litanie,
Mais j'ai enfin compris ,
Qu'entre le rêve et la réalité,
Tu étais si attachant dans ce rôle d'artiste ,
Que je pouvais voir que tu étais qu'un fantaisiste ,
Et tu masquais bien tes origines,
Au point que se fut difficile ,
J'en suis très surprise ,
Et je suis convaincue ,
Que par tes arguments tu étais sensible ,
Mais moi je suis comme je suis,
Je ne vais pas fuir et encore moins te nuire ,
Mais là je me sens trahis ,
Et je vais t'abandonner ,
Et ayant perdu confiance en l'humanité ,
Je crois que je vais rester ,
Là où je suis mon cœur criait famine ,
Ce n'est pas grave je lui explique ,
Que tu étais un ennemi si je peux le dire ,
Il va agir de suite ,
Avant qu'un vent violent ,
Vienne s'abattre sur ma demeure ,
Ou lézarde ma façade ,
Je pense qu'il est l'heure ,
De se dire au revoir ,
Ou même adieu ,
Mais cette fois sans larmes dans les yeux ,
Car ton petit monde n'est pas merveilleux,
Et si un jour tu es heureux ,
Eh ! bien tant mieux ………...
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